La légalisation des jeux d’argent en ligne commence à faire du bruit, et les avis divergeant commence à apparaitre sur la toile, les pour et contres sont dans la balance, mais la question se pose t ‘elle vraiment, ci dessous un extrait d’un article publié sur boursereflex.com :
Poker, paris sportifs et hippiques en ligne : le projet de loi va passer en deuxième lecture à l’Assemblée nationale le 30 mars, permettant l’ouverture à la concurrence de ces sites de jeux d’argent. Ce projet de loi cache des enjeux financiers énormes, et des problèmes de « fiscalité allégée ». Nos deux duellistes font le point.
Antoine Duroyon : La France n’a guère le choix. La Commission européenne exige que le secteur soit ouvert à la concurrence sous peine de poursuites devant la Cour européenne de justice. Les opérateurs de jeux de hasard en ligne peuvent en effet se baser sur le principe de la libre prestation des services, inclus dans l’article 49 du traité de la Communauté européenne, pour battre en brèche les monopoles. La Française des Jeux pour les paris sportifs et le PMU pour les paris hippiques doivent s’y plier.
Victor Nicolas : Il y a en effet une nécessité de légiférer pour créer une ouverture à la concurrence des paris sportifs et hippiques, ainsi que le poker en ligne. Mais le texte implique une « fiscalité allégée », dénoncée par le Parti socialiste, qui devrait diminuer les recettes de l’Etat de 2 milliards d’euros. Reste à savoir quand cette mesure aura lieu. Le texte devrait passer à l’Assemblée nationale pour une deuxième lecture le 30 mars. Or, les politiques et les plates-formes de jeux attendent que l’ouverture à la concurrence puisse avoir lieu avant le 11 juin, date de début du Mondial. Cela risque d’être juste. Les enjeux financiers sont pourtant importants.
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