La Hollande semble être le dernier pays en Europe à ouvrir ses options de jeu en ligne afin d’inclure poker sur internet.
Le ministère de la Justice de la hollande a créé un groupe spécial, un Comité consultatif des jeux en ligne du afin d’examiner la possibilité d’étendre leur actuelle lois sur les jeux en ligne avec pour but final d’inclure le poker. La nation exploite actuellement un monopole étatique sur les jeux en ligne, offrant des seuls sports de paris et une loterie nationale à travers des sites autorisée par l’Etat. Les résultats de l’Online Gaming Comité consultatif pourrait affecter les lois telles qu’elles sont actuellement écrites et appliquées dans le pays.
Le groupe, formé en Septembre de l’année dernière, est un corps de six membres, qui a enquêté sur les conditions actuelles du marché en Hollande et l’application des lois du pays vers les jeux en ligne. Selon Gaming Intelligence, les recommandations du Comité de soutien à la légalisation du poker en ligne dans une grande partie de la même manière que la France a récemment ouvert son marché des jeux en ligne. Les raisons pour lesquelles les modifications proposées sont de deux ordres, selon les rapports Gaming Intelligence.
Tout d’abord, la Hollande licences déjà les paris sportifs et une loterie nationale, qui le comité a constaté n’ont pas causé de problèmes en vertu des lois nationales. Deuxièmement, le comité a constaté que « illégale » des variantes de jeux en ligne (y compris le poker) existent déjà et n’ont pas été inhibée par le système juridique actuel. La seule façon pour le pays pour empêcher l’accès aux sites en ligne, le comité a constaté, a été pour les différents fournisseurs de services Internet (FSI) dans tout le pays pour bloquer les sites.
Il ya deux autres raisons que le comité peut être trouvé à changer l’orientation actuelle en Hollande. En bloquant les FAI dans le pays, la Hollande irait à l’encontre des politiques de l’Union européenne de libre-échange et les traités. Cela pourrait conduire à des sanctions pour de telles violations. Il est également possible que le comité gouvernemental a vu une autre source de revenus que le pays pourrait apporter dans le giron de la période en cours économiquement morose.
L’Union européenne a dû faire face à la question des jeux en ligne, puisque l’industrie est apparue dans les années 1990. Chacun des 27 États membres ont signé des traités qui font la promotion du libre-échange et le commerce, mais de nombreux pays ont tenté de contourner ces accords à divers endroits au cours de la dernière décennie. La Cour européenne de justice, où des désaccords se font entendre entre les États membres, a souligné à maintes reprises le droit européen de l’Union sur les lois des nations individuelles « en ce qui concerne la question des jeux en ligne et en permanence remis en question les monopoles nationaux différents que certains pays, comme la France et la Hollande, avait mis en place .
Plus tôt cette année, la France a révisé sa trois années ancien monopole géré par l’Etat sur les jeux et créé ARJEL, autorité du pays de régulation des jeux en ligne, de gérer la dispersion des licences en ligne dans les paris sportifs, courses hippiques et le poker en ligne. En Juin, ARJEL parfaitement géré la concession de licences de sites en ligne tels que PokerStars, PartyPoker, Everest Poker et Bwin, entre autres. On pense que la Hollande va essayer de mettre en œuvre un système un peu comme la France dans un proche avenir pour traiter leurs problèmes de jeu en ligne.